L'association des professeurs de français Galia Real a préparé cette année une programmation très intéressante.
Toutes les séances auront lieu dans le cinéma Las Vías.
20 avril: Violette de Martin Provost.
Violette Leduc, née bâtarde au début du siècle dernier, rencontre Simone
de Beauvoir dans les années d’après-guerre à St-Germain-des-Prés.
Commence une relation intense entre les deux femmes qui va durer toute
leur vie, relation basée sur la quête de la liberté par l’écriture pour
Violette et la conviction pour Simone d’avoir entre les mains le destin
d’un écrivain hors norme.
21 avril: Dans la cour, de Pierre Salvadori
Antoine est musicien. A quarante ans, il décide brusquement de mettre
fin à sa carrière. Après quelques jours d'errance, il se fait embaucher
comme gardien d'immeuble. Jeune retraitée, Mathilde découvre une
inquiétante fissure sur le mur de son salon. Peu à peu, son angoisse
grandit pour se transformer en panique : et si l'immeuble
s'effondrait... Tout doucement, Antoine se prend d'amitié pour cette
femme qu'il craint de voir sombrer vers la folie. Entre dérapages et
inquiétudes, tous deux forment un tandem maladroit, drolatique et
solidaire qui les aidera, peut-être, à traverser cette mauvaise passe.
22 avril: Samba, de Eric toledana et O. Nakache
Samba, sénégalais en France depuis 10 ans, collectionne les petits
boulots ; Alice est une cadre supérieure épuisée par un burn out. Lui
essaye par tous les moyens d'obtenir ses papiers, alors qu'elle tente de
se reconstruire par le bénévolat dans une association. Chacun cherche à
sortir de son impasse jusqu'au jour où leurs destins se croisent...
Entre humour et émotion, leur histoire se fraye un autre chemin vers le
bonheur. Et si la vie avait plus d'imagination qu'eux ?
23 avril: Jeune et jolie, de François Ozon
Le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons.
24 avril: Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu?, de Philippe de Chauveron
Claude et Marie Verneuil, issus de la grande bourgeoisie catholique
provinciale sont des parents plutôt "vieille France". Mais ils se sont
toujours obligés à faire preuve d'ouverture d'esprit...Les pilules
furent cependant bien difficiles à avaler quand leur première fille
épousa un musulman, leur seconde un juif et leur troisième un chinois.
Leurs
espoirs de voir enfin l'une d'elles se marier à l'église se
cristallisent donc sur la cadette, qui, alléluia, vient de rencontrer un
bon catholique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour! Laissez vos commentaires sur notre blog.